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Ambassade de Russie en France / Посольство России во Франции

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2021-06-30 12:17:13 Ligne directe. Comme chaque année, le président russe Vladimir Poutine échange avec des concitoyens lors d'une séance de questions-réponses, diffusée en direct sur RT France.
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2021-06-30 12:12:46 #ПрямойЭфир: «Прямая линия» с Владимиром Путиным.

Глава государства в свободном режиме отвечает на вопросы, интересующие граждан страны.



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2021-06-29 11:07:44 Sergueï Lavrov, «Sur le droit, les droits et les règles»

Dans les documents de Cornouailles et de Bruxelles est statué l'avancement du concept d'un "ordre mondial basé sur des règles" faisant contrepoids aux principes universels du droit international, stipulés notamment par la Charte de l'Onu.

La "beauté" des "règles" occidentales réside précisément dans l'absence du concret: dès que quelqu'un agit contre la volonté de l'Occident, ce dernier annonce immédiatement de manière infondée une "violation des règles" (sans avancer de preuves) et proclame son "droit de punir le transgresseur". Autrement dit, moins il y a de concret, plus les mains sont libres pour l'arbitraire, pour endiguer les concurrents par des méthodes déloyales. En Russie, dans les années 1990 "difficiles" cela s'appelait "agir selon le code".

L'emphase principale des approches annoncées par l'Occident se concentre sur l'ordre intérieur des pays "non démocratiques" et sur la détermination à les changer selon leurs propres recettes en obtenant des changements dans l'organisation de la vie sociale qui correspondraient à la vision de la démocratie promue par Washington et Bruxelles.

Les hommes politiques sensés en Europe et en Amérique ont conscience de l'impasse d'une telle ligne sans compromis. Ils commencent, pour l'instant de manière non publique, à réfléchir pragmatiquement en reconnaissant qu'il existe plusieurs civilisations dans le monde, que la Russie, la Chine et d'autres grandes puissances ont leur propre histoire millénaire, leurs traditions, leurs valeurs, leur mode de vie. C'est une cause perdue de placer en priorité la question de savoir quelles valeurs sont meilleures ou pires, il faut simplement reconnaitre la présence d'autres formes d'organisation de la société qu'occidentales, les accepter comme telles, les respecter.

Sur fond de profonds changements sur la scène internationale affectant tous sans exceptions et dont les conséquences sont imprévisibles, une question se pose: quelle forme de structure étatique est la plus efficace non pas pour le messianisme mais pour stopper et éradiquer les menaces qui ne connaissent pas de frontières et affectent toutes les personnes où qu'elles vivent.

En mettant en place son concept d'un "ordre mondial basé sur des règles" l'Occident a pour objectif de détourner les discussions sur les thèmes centraux vers des formats plus confortables où les récalcitrants ne sont pas invités. Des plateformes et des groupes étroits se forment pour décider entre eux des recettes qui seront ensuite imposées à tous les autres. Parmi les exemples: l'"appel à la sécurité dans le cyberespace", l'"appel à respecter le droit humanitaire international", le "partenariat pour soutenir la liberté de l'information".

L'attitude arrogante envers d'autres membres de la communauté internationale laisse l'Occident du "mauvais côté de l'histoire". Les pays sérieux qui se respectent ne permettront jamais qu'on leur parle par des ultimatums et exigeront un dialogue équitable pour étudier tous les problèmes.

Je souligne de nouveaux ce que le Président Vladimir Poutine a déclaré plusieurs fois: il n'y a pas eu de concessions unilatérales depuis la fin des années 1990 et il n'y en aura plus jamais. Si vous voulez coopérer, reprendre votre bénéfice perdu et votre réputation d'affaires, asseyez-vous pour s'entendre sur les démarches mutuelles à la recherche de décisions justes et de compromis.

Indépendamment des émotions de qui que ce soit et des menaces, notre pays poursuivra sa ligne souveraine et indépendante en politique étrangère et en même temps proposera toujours un agenda unificateur dans les affaires internationales en fonction des réalités de la diversité culturelle et civilisationnelle du monde contemporain.
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2021-06-28 11:18:34
Sergueï Lavrov: «La politique de l’UE est de plus en plus souvent déterminée par une minorité russophobe agressive, ce qui a été complètement confirmé lors du sommet de Bruxelles les 24 et 25 juin lequel a porté sur les perspectives des relations avec la Russie. L’initiative d’Angela Merkel et d’Emmanuel Macron concernant une rencontre avec Vladimir Poutine a été enterrée en ayant à peine eu le temps de naître»
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2021-06-28 09:04:47 Article by Sergey Lavrov, Russian Minister of Foreign Affairs, "The law, the rights and the rules"

June 26, 2021

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The documents adopted at the Cornwall and Brussels summits cemented the rules-based world order concept as a counterweight to the universal principles of international law with the UN Charter as its primary source.

The beauty of these Western “rules” lies precisely in the fact that they lack any specific content. When someone acts against the will of the West, it immediately responds with a groundless claim that “the rules have been broken” (without bothering to present any evidence) and declares its “right to hold the perpetrators accountable.”

The West reserved its biggest words to the inner workings of the “non-democratic” countries and its commitment to reshape them to fit into the Western mould. This entails bringing society in compliance with the vision of democracy as preached by Washington and Brussels.

Clearheaded politicians in Europe and America realise that this uncompromising policy leads nowhere. Attempts to decide whose values are better, and whose are worse, seem pointless. Instead, the West must simply recognise that there are other ways to govern that may be different from the Western approaches, and accept and respect this as a given.

International relations are going through fundamental shifts that affect everyone without exception. Trying to predict where it will take us is impossible. Still, there is a question: messianic aspirations apart, what is the most effective form of government for coping with and removing threats that transcend borders and affect all people, no matter where they live?

By imposing the concept of a rules-based order, the West seeks to shift the conversation on key issues to the platforms of its liking, where no dissident voices can be herd. This is how it works: those who join these “appeals” or “partnerships” decide among themselves who violates their requirements in a given sphere, and the European Union imposes sanctions on those at fault. What a convenient method. They can indict and punish all by themselves without ever needing to turn to the UN Security Council.

With its contemptuous attitude towards other members of the international community, the West finds itself on the wrong side of history. Serious, self-respecting countries will never tolerate attempts to talk to them through ultimatums and will discuss any issues only on an equal footing.

Regardless of any ambitions and threats, our country remains committed to a sovereign and independent foreign policy, while also ready to offer a unifying agenda in international affairs with due account for the cultural and civilisational diversity in today’s world.
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2021-06-28 09:04:31 Лавров С.В. О ПРАВЕ, ПРАВАХ И ПРАВИЛАХ

Москва, 28 июня 2021 года

В документах Корнуолла и Брюсселя [места проведения саммитов «Группы семи» и Североатлантического Альянса] закреплено продвижение концепции «миропорядка, основанного на правилах» в противовес универсальным принципам международного права, закрепленным, прежде всего, в Уставе ООН.

«Прелесть» западных «правил» – именно в отсутствии конкретики: как только кто-то поступает вопреки воле Запада, тот мгновенно голословно заявляет о «нарушении правил» (предъявлять факты не станет) и объявляет о своем «праве «наказывать» нарушителя». В России «лихих» 1990-х это называлось «действовать по понятиям».

Главный пафос анонсированных подходов Запада сконцентрирован на внутреннем устройстве «недемократических» стран и на решимости менять их по своим лекалам, добиваясь таких перемен в организации жизни общества, которые соответствовали бы продвигаемому Вашингтоном и Брюсселем видению демократии.

Тупиковость такого бескомпромиссного курса понимают здравомыслящие политики в Европе и Америке. Бесперспективно ставить во главу угла вопрос о том, чьи ценности лучше или хуже, надо просто признать наличие других – по сравнению с западными – форм организации общества, принять как данность, уважать их.

На фоне глубинных перемен на международной арене, которые затрагивают всех без изъятия и последствия которых пока никто не возьмется предвосхищать, возникает вопрос: какая форма государственного устройства наиболее эффективна не для мессианства, а для купирования и устранения тех угроз, которые не знают границ и затрагивают всех людей, где бы они ни жили.

Внедряя свою концепцию «миропорядка, основанного на правилах», Запад преследует цель увести дискуссии по ключевым темам в удобные ему форматы, куда несогласных не приглашают. Схема такая: участники «призывов» и «партнерств» решают в своем тесном кругу, кто нарушает их требования в той или иной области, а Евросоюз уже накладывает на провинившихся санкции. Удобно: сам обвиняешь, сам наказываешь и в Совбез ООН ходить не надо.

Высокомерное отношение к другим членам мирового сообщества оставляет Запад на «неправильной стороне истории». Серьезные, уважающие себя страны никогда не позволят разговаривать с собой на основе ультиматумов и будут добиваться только равноправного диалога для рассмотрения любых вопросов.

Односторонних уступок конца 1990-х с тех пор не было и никогда не будет. Хотите сотрудничать, вернуть свою упущенную выгоду и деловую репутацию – садитесь договариваться о шагах навстречу друг другу в поиске справедливых решений и компромиссов.

Вне зависимости от чьих-либо амбиций и угроз наша страна будет и далее проводить суверенный, независимый внешнеполитический курс и одновременно – всегда предлагать объединительную повестку дня в международных делах на основе реалий культурно-цивилизационного многообразия современного мира.
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2021-06-25 11:13:57 Mais personne ne voulait l’écouter à l’époque ni en URSS, ni aux Etats-Unis, ni en Europe.

En plus, de nombreux pays ont été mis devant le choix artificiel: être soit avec l’Occident collectif soit avec la Russie. De facto il s’agissait d’un ultimatum. Les conséquences de cette politique agressive sont visibles dans la tragédie ukrainienne de 2014. L’Europe a activement soutenu un coup d’Etat armé et anticonstitutionnel en Ukraine. C’est là où tout a commencé. Pourquoi était-il nécessaire de le faire?
Le président de l'époque Viktor Ianoukovitch avait déjà accepté toutes les réclamations de l’opposition. Pourquoi les Etats-Unis ont-ils organisé un coup d’Etat et les pays européens l’ont-ils mollement soutenu en provoquant le clivage au sein de l'Ukraine et la sécession de la Crimée?

Pour l’heure l’ensemble du système de la sécurité européenne a profondément dégradé. Les tensions montent et les risques d’une nouvelle course aux armements deviennent réels. Nous ratons de formidables occasions que nous offre la coopération surtout maintenant où nous sommes tous confrontés à des défis communs – la pandémie et ses conséquences socio-économiques gravissimes.

Comment en est-on arrivé là? Et, principalement, quelles conclusions devons-nous en tirer ensemble? Quelles leçons de l’histoire devons-nous nous rappeler? Je pense tout d’abord à ce que toute l’histoire de la Grande Europe de l’après-guerre confirme: la prospérité et la sécurité de notre continent commun ne sont possibles que grâce aux efforts conjoints de tous les pays, y compris la Russie. Car la Russie est un des plus grands pays de l’Europe. Et nous ressentons notre lien culturel et historique indéfectible avec l’Europe.

Nous sommes ouverts à une interaction honnête et constructive. Notre idée de créer un espace commun de coopération et de sécurité de l’Atlantique au Pacifique qui inclurait divers formats d’intégration notamment l’Union européenne et l’Union économique eurasienne le confirme.

Je répète encore que la Russie est favorable au rétablissement d’un partenariat à part entière avec l’Europe. Nous avons de nombreux sujets de l’intérêt réciproque: la sécurité et la stabilité stratégique, la santé et l’éducation, la numérisation, l’énergie, la culture, la science et les technologies ainsi que le règlement des problèmes climatiques et environnementaux.

Le monde évolue de manière dynamique et fait face à de nouveaux défis et menaces. Et nous ne pouvons tout simplement pas nous permettre de traîner le fardeau des malentendus, rancunes, conflits et erreurs du passé. Ce fardeau qui nous empêchera de nous concentrer sur le règlement de problèmes d’actualité. Nous sommes convaincus que nous devons tous reconnaître ces erreurs et les corriger. Notre objectif commun et incontestable consiste à assurer la sécurité continentale sans lignes de division, à créer un espace commun de coopération équitable et de développement global pour la prospérité de l’Europe et du monde entier.
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2021-06-25 11:13:56 «Être ouverts malgré le passé»: l'article de Vladimir Poutine pour Die Zeit


Le 22 juin 1941, il y a exactement 80 ans, les nazis après avoir conquis la quasi-totalité du territoire de l'Europe ont attaqué l’Union soviétique. La Grande Guerre patriotique a commencé pour le peuple soviétique – la plus sanglante dans l’histoire de notre pays. Des dizaines de millions de personnes ont ont été tuées, un immense préjudice a été infligé au potentiel économique et au patrimoine culturel.

Nous sommes fiers du courage et de la fermeté des héros de l’Armée rouge et de ceux qui la soutenaient dans les usines et sur les champs qui ont non seulement défendu l’indépendance et la dignité de la Patrie mais aussi ont sauvé de l’asservissement l’Europe et le monde entier. Quelles que soient les tentatives de réécrire aujourd’hui les pages du passé, la vérité est que le soldat soviétique n’est pas venu sur la terre allemande pour se venger des Allemands mais avec une noble et grande mission de libération. Pour nous la mémoire des héros qui ont combattu le nazisme est sacrée. Nous nous souvenons avec gratitude des Alliés de la coalition antihitlérienne, des participants à la Résistance, des antifascistes allemands qui ont tous contribué à nous rapprocher de la Victoire commune.

Après avoir survécu aux horreurs de la guerre mondiale les nations européennes ont tout de même réussi à surmonter l’aliénation et à rétablir la confiance et le respect mutuels, ont pris le chemin vers l’intégration pour tirer un trait définitif sur les tragédies européennes de la première moitié du siècle passé. Et je tiens à souligner tout particulièrement que la réconciliation historique de notre peuple avec les Allemands qui vivaient à l’Est et à l’Ouest de l’Allemagne contemporaine réunitiée a joué un rôle colossal dans la formation de cette Europe.

Je tiens également à rappeler que ce sont des entrepreneurs allemands qui sont devenus pionniers de la coopération avec notre pays dans l’après-guerre. En 1970 l’Union soviétique et la République Fédérale d’Allemagne ont conclu «l’accord du siècle» sur l’approvisionnement à long terme du gaz naturel en Europe qui a jeté les bases d’une interdépendance constructive et a ouvert la voie à de nombreux projets ambitieux y compris la construction du gazoduc Nord Stream.

Nous espérions que la fin de la guerre froide serait une victoire commune pour l’Europe. Il semblait que d’ici peu le rêve de Charles de Gaulle d’un continent uni, non seulement sur le plan géographique « de l’Atlantique à l’Oural » mais aussi culturel et civilisationnel – de Lisbonne à Vladivostok – deviendrait réalité.

C’est dans cette logique – celle de la construction d’une Grande Europe unie par des valeurs et des intérêts communs que la Russie cherchait à développer ses relations avec les Européens. L’Union Européenne et nous-mêmes avons beaucoup fait en ce sens.

Mais une autre approche a prévalu. Celle-ci était basée sur l’expansion de l’OTAN qui représentait elle-même un vestige de la guerre froide. En effet c’est pour la confrontation de l’époque que l’Alliance a été créée.

C’est l’élargissement du bloc vers l’Est commencé lorsque les dirigeants soviétiques ont été persuadés de donner l’accord à l’adhésion de l’Allemagne réunifiée à l’OTAN qui est devenu la raison principale de la croissance rapide de la méfiance réciproque en Europe. On a vite oublié les promesses faites alors en paroles comme quoi « ceci n’est pas dirigé contre vous », « les frontières du bloc ne se rapprocheront pas de vous ». Mais le précédent a été créé.

A partir de 1999 l’OTAN a connu cinq vagues d’élargissement. 14 nouveaux pays dont les républiques de l’ex-URSS ont rejoint l’organisation ce qui a en fait enterré les espoirs d’un continent sans lignes de division. A propos, un des leaders du SPD Egon Bahr en a prévenu encore au milieu des années 80. Il proposait une restructuration à fond de l’ensemble du système de la sécurité européenne après la réunification de l’Allemagne, et ce avec la participation aussi bien de l’URSS que des Etats-Unis.
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2021-06-23 17:37:52
« Pouls au rythme de la syncope » : des médecins français jouent du jazz à la Maison russe à Paris

Le 24 juin, la Maison russe des sciences et de la culture à Paris organise le premier concert dans ses locaux après une longue pause.

Il sera dédié aux médecins et au personnel médical — sans exagération aux héros de notre temps, qui se retrouvent en première ligne de la lutte contre la pandémie qui a frappé la planète entière.

«Пульс в ритме синкопы»: французские врачи играют джаз в Русском доме в Париже

24 июня Русский дом науки и культуры в Париже проводит первый концерт, который состоится в залах Дома после долгого перерыва.

Он посвящается врачам и медицинскому персоналу — без преувеличения героям нашего времени, оказавшимся на переднем крае борьбы с опаснейшей пандемией, охватившей всю планету.

Посвящение врачам неслучайно — участники встречи воздадут дань уважения их силе и терпению, таланту и человеколюбию, профессионализму и отваге.

#россотрудничество #rossotrudnichestvo #russianhouse #русскийдом
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2021-06-22 21:33:48 Le 22 juin 2021 à l’occasion de la Journée du souvenir et du chagrin une cérémonie commémorative consacrée au 80ème anniversaire du début de la Grande Guerre patriotique s’est tenue au plus grand cimetière militaire soviétique en France à Noyers-Saint-Martin (Oise).

L'Ambassadeur et les collaborateurs de l'Ambassade de Russie, ainsi que leurs homologues des missions diplomatiques d'Arménie, d'Azerbaïdjan, de Belarus, de Kazakhstan, de Tadjikistan, d'Ouzbékistan et de Serbie s'y sont rassemblés pour rendre hommage aux morts et déposer les gerbes au monument « Les fleurs de la liberté ». Les représentants des autorités municipales et d'associations locales des anciens combattants ont aussi participé à la cérémonie.
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